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Vaste massif de plus de 5000 hectares, Perseigne est l'une des plus belles forêts du Maine. Point culminant de la Sarthe, vallons et collines lui donnent parfois des airs de massifs montagneux. De nombreux cours d'eau alimentent les étangs des alentours. La faune et la flore, très diversifiées, émerveillent en toutes saisons. Pourtant, Perseigne semble cultiver sa discrétion. On la traverse souvent sans soupçonner ce qu'elle cache de charme, d'Histoire et de richesses.

Une découverte illustrée du jardin de C. Monet à Giverny qui témoigne de la palette de couleurs et de lumières qu'offre ce lieu. Electre 2021

Moine bénédictin de l'abbaye de Jumièges et historien, Guillaume écrivit ce texte vers 1080. Il y retrace l'histoire de la Normandie et décrit les moeurs et coutumes des Normands et la vie des ducs de Normandie. La dernière partie, postérieure à sa mort, fut ajoutée par un moine de l'abbaye du Bec.

A l'ère du piéton et du cheval, la vie en Normadie au début du XXe siècle.

Es cimetières sont des endroits à part. Situés aux portes des villes ou au cœur des villages, ils nous paraissent proches et familiers et nous pensons les connaître. Mais que savons-nous de ces lieux discrets, abrités derrière leurs grands murs ? Il suffit de pousser les grilles d'entrée des vastes cimetières urbains pour découvrir de vieux carrés aux tombes impressionnantes, ou de soulever la clenche du portillon de ces petits cimetières campagnards au charme immuable... Ici, un arbre s'est enraciné et a soulevé une sépulture ; là, des herbes folles courent entre les pierres. Dans une démarche impressionniste, l'auteur pose un regard original sur des lieux suspendus entre ciel et terre, où le temps semble s'écouler plus lentement qu'au dehors.

Ce récit au jour le jour, paru dans les colonnes de Ouest-France en 2004 dans le cadre du 60e anniversaire du Débarquement, décrit étapes par étapes les opérations en Normandie, l'avancement du front des alliés jusqu'à la Libération de la France.

Une histoire de la culture normande à travers les grandes figures qui ont marqué la destinée d'un peuple voyageur. L'auteur montre notamment qu'au fil des siècles, les Normands laisseront des traces dans la langue et la civilisation anglo-saxonne comme dans la culture du Mezzogiorno italien.

En tournant les pages de ces 44 chapitres, « vous entrerez subrepticement au 44, rue du Mans, à Bellême, dans l'épicerie de ma mère, où se côtoyaient la lessive, les bobines de fil, le café, ou le chocolat... Il m'arrivait de dérober une tablette, j'y ajoutais parfois un paquet de petits Lu ! « Chacun sa part » disait la publicité ! Caché dans le jardin, la peur au ventre, je m'empiffrais ! » Aujourd'hui l'épicerie est toujours là, elle est devenue le restaurant l'Escale, que les Bellêmois connaissent bien, et où la famille Pelletier officie toujours. Dans la seconde partie de son livre, Jean-Pierre Pelletier évoque sa vie publique, un témoignage ponctué d'anecdotes, qui recouvre quarante années de militantisme à gauche.