C'était impossible plus tôt : les événements que je vais décrire étaient trop monstrueux, trop choquants pour œtre imprimés. Ils le sont toujours aujourd'hui. Je n'exagère rien en affirmant qu'ils pourraient mettre à mal le tissu tout entier de notre société, ce qui, particulièrement en temps de guerre, est une chose que je ne peux risquer. Une fois ma tdche accomplie, à supposer que j'aie la force de la mener à bien, j'empaquetterai le manuscrit et je l'enverrai dans les coffres de Cox and Co., à Charing Cross, où certains autres de mes papiers personnels sont conservés. Je donnerai comme instruction que, de cent ans, le paquet ne devra pas œtre ouvert.